dimanche 21 novembre 2021

Fin d'année

Encore une fin d'année compliquée en France, avec la résurgence de la crise sanitaire. Il faut se rendre à l'évidence : non, rien n'est fini et n'est pas prêt de finir. Vivre avec ne signifie pas pour autant s'habituer et banaliser. cela ne signifie pas non plus minimiser les risques. Une seule solution encore et toujours : la vaccination.

Ce n'est pas l'idéal. Tout le monde est d'accord mais c'est le seul moyen. Oui il y aura troisième dose et oui il y aura sûrement une quatrième et une cinquième et une sixième. Inutile de se mentir. Il faudrait d'ailleurs que chacun prenne ses responsabilité, notamment au gouvernement et ne cherche pas à cacher cela. Alors seulement, peut être les gens commenceront à cesser de croire aux complots.

A Bétheniville, comme partout, il faut aussi se préparer à tout cela.


Les Rodéos motos ruraux, encore et toujours, ne font plus sourire personne

1h30 du matin et encore et toujours ces crissements de pneus de motos ne respectant rien ni personne. Des hurlements jusqu'au bout de la nuit accompagnent souvent ces rendez-vous. Des allers et retours incessants dans tout le village, une grande partie de la nuit et une grande partie des nuits de la semaine.

On ne dirait pas que le prix de l'essence augmente pour ces auteurs que le désœuvrement évident n'empêchent pourtant pas de vider des réservoirs entiers de manière totalement absurde, dangereuse et inutile.

Bien que cela ait été signalé à plusieurs reprises selon le maire depuis l'été, rien n'a cessé.

Et réellement, ce non respect insultant du sommeil des habitants commence à devenir insupportable. Cela n'est pourtant pas le fait de nombreuses personnes, peut être deux ou trois, forcément du village et forcément connues, donc. Il n'est pas question de vouloir à tout prix punir mais les intéressés doivent être raisonnés  d'urgence, avant que de vraies plaintes ne soient déposées par de nombreux habitants excédés car tout ceci a un nom : le tapage.

Selon l’article R1336-5 du Code de la santé publique, aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé, qu’une personne en soit elle-même à l’origine ou que ce soit par l’intermédiaire d’une personne, d’une chose dont elle a la garde ou d’un animal placé sous sa responsabilité. Toute personne à l’origine d’un bruit particulier de nature à porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme peut être condamnée à une contravention de 3e classe pouvant aller jusqu’à 450 . D’autre part, le Code pénal sanctionne le tapage injurieux ou nocturne de la même peine. Dans ces deux cas, toute personne qui a facilité ou assisté la préparation ou l’exécution des faits peut être punie des mêmes peines et l’objet qui a servi ou était destiné au tapage peut être confisqué. Le versement de dommages-intérêts peut être envisagé.