Traffic routier sur la commune

Remarque reçue de nombreux habitants de Bétheniville et Pontfaverger.

Dans d'autres villages (Bazancourt, Warmeriville) également touchés par le même phénomène et les mêmes nuisances, une réflexion a commencé sur les possibilités de détourner le flux incessant de camions traversant les agglomérations, de jour comme de nuit, pendant la campagne de betteraves.

Sans doute que cette réflexion pourrait aussi être organisée sur la commune de Bétheniville où, disons le clairement, ces nuisances deviennent hautement dérangeantes.

Certes, ici comme ailleurs, il n'est pas question de ralentir cette activité économique essentielle mais dans le même temps, on ne peut pas tout organiser comme on le fait aujourd'hui pour briser le traffic automobile (dos d'âne, changements  de priorités) et permettre à des camions de ne bien souvent rien respecter. Tous les riverains des rues traversantes le savent : aucune priorité à droite n'est respectée par ces camions, ni aucune limitation de vitesse.

D'autre part, personne ne pense qu'un village a pour vocation éternelle d'être traversé continuellement par un traffic de ce genre sans que des itinéraires de délestage ne soient jamais envisagés.

Il est temps d'y penser et d'agir pour l'avenir de Betheniville mais aussi des autres villages tout autant impactés.

Qu'en pensez-vous?

Fin d'année

Encore une fin d'année compliquée en France, avec la résurgence de la crise sanitaire. Il faut se rendre à l'évidence : non, rien n'est fini et n'est pas prêt de finir. Vivre avec ne signifie pas pour autant s'habituer et banaliser. cela ne signifie pas non plus minimiser les risques. Une seule solution encore et toujours : la vaccination.

Ce n'est pas l'idéal. Tout le monde est d'accord mais c'est le seul moyen. Oui il y aura troisième dose et oui il y aura sûrement une quatrième et une cinquième et une sixième. Inutile de se mentir. Il faudrait d'ailleurs que chacun prenne ses responsabilité, notamment au gouvernement et ne cherche pas à cacher cela. Alors seulement, peut être les gens commenceront à cesser de croire aux complots.

A Bétheniville, comme partout, il faut aussi se préparer à tout cela.

Les Rodéos motos ruraux, encore et toujours, ne font plus sourire personne

1h30 du matin et encore et toujours ces crissements de pneus de motos ne respectant rien ni personne. Des hurlements jusqu'au bout de la nuit accompagnent souvent ces rendez-vous. Des allers et retours incessants dans tout le village, une grande partie de la nuit et une grande partie des nuits de la semaine.

On ne dirait pas que le prix de l'essence augmente pour ces auteurs que le désœuvrement évident n'empêchent pourtant pas de vider des réservoirs entiers de manière totalement absurde, dangereuse et inutile.

Bien que cela ait été signalé à plusieurs reprises selon le maire depuis l'été, rien n'a cessé.

Et réellement, ce non respect insultant du sommeil des habitants commence à devenir insupportable. Cela n'est pourtant pas le fait de nombreuses personnes, peut être deux ou trois, forcément du village et forcément connues, donc. Il n'est pas question de vouloir à tout prix punir mais les intéressés doivent être raisonnés  d'urgence, avant que de vraies plaintes ne soient déposées par de nombreux habitants excédés car tout ceci a un nom : le tapage.

Selon l’article R1336-5 du Code de la santé publique, aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé, qu’une personne en soit elle-même à l’origine ou que ce soit par l’intermédiaire d’une personne, d’une chose dont elle a la garde ou d’un animal placé sous sa responsabilité. Toute personne à l’origine d’un bruit particulier de nature à porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme peut être condamnée à une contravention de 3^e classe pouvant aller jusqu’à 450 €. D’autre part, le Code pénal sanctionne le tapage injurieux ou nocturne de la même peine. Dans ces deux cas, toute personne qui a facilité ou assisté la préparation ou l’exécution des faits peut être punie des mêmes peines et l’objet qui a servi ou était destiné au tapage peut être confisqué. Le versement de dommages-intérêts peut être envisagé.

 

Dimanche 22 Aout - bientôt la fin des vacances estivales

Bientôt la fin des vacances estivales de cette année 2021.

La rentrée se profile tant bien que mal avec les incertitudes sanitaires, sécuritaires, dans un monde de plus en plus perturbé par l'absence de perspectives réjouissantes : les régressions à l'autre bout du monde, la pandémie qui n'en finit pas de rebondir et nous surprendre, les réponses parfois absurdes et incompréhensibles des politiques, et conséquemment, la montée de toutes les exaspérations à quelques mois d'une élection dont les résultats pourraient être très lourds de conséquences pour les institutions.

A Bétheniville, on se croit toujours un peu loin de tout ça, comme protégés par les grands espaces agricoles... pour combien de temps encore.

Après tout, si on a la vie qu'on mérite, on a le gouvernement qu'on mérite aussi et l'avenir qu'on se construit ou qu'on laisse advenir par fatigue, relâchement ou complaisance.

Rodéos "ruraux"

L'union faisait état du problème que commençaient à poser les rodéos urbains de motos la nuit, dans certains quartiers de Reims, accidentogènes et insupportables pour les riverains qui contrairement aux motards se lèvent le matin pour travailler même en juillet et aout.

Il faut bien constater qu'il n'y a pas que les rodéos urbains qui existent mais aussi les rodéos ruraux. Toutes les nuits de l'été les crissements de pneus, allers et retours de motos ne cessent dans les rues du village. 

Cette mode stupide gagnerait à cesser et la municipalité, dont le sommeil semble bien lourd pour certains "vrais" problèmes, gagnerait à s'en occuper d'avantage : personne en effet ne pense que les limitations de vitesse sont respectées de nuit dans ces conditions.

Dernier VAB

On apprend que, suite à la mise en priorité à droite des principales rues, la vitesse moyenne a baissé de ... 2km/h. Enfin, laissons le temps au temps.

On apprend aussi que des hard discounts (Aldi, Lidl, etc...) ont été approchés pour s'implanter éventuellement au village. C'est sans doute la meilleure nouvelle mais attendons de voir. Le bassin de population Rives de Suippes supporterait largement un hard discount (comparé à d'autres endroits similaires mais bien mieux pourvus en services). Plus d'offre, plus de choix, plus de clients : en commerce, c'est la règle. Toutefois, nous vivons dans un pays assez bizarre où on est à fond pour la libre entreprise et la concurrence à partir du moment où ... on n'est pas soi-même concurrencé.

Bref, à lire dans le VAB de la commune.

Priorité à droite dans les rues principales de Bétheniville

 Attention : 

Depuis peu, les principales rues du village: rue de Reims, Rue de Vouziers, rue du Neuf-bourg et en partie la rue du Munet sont passé presqu'intégralement en priorité à droite. Cela s'accompagne d'une limitation de la vitesse à 30km/h dans le centre du village.

C'est une décision de la municipalité pour réduire la vitesse moyenne dans ces rues et augmenter la sécurité relative. 

Evidemment, des critiques se font entendre ici et là.

Mais en théorie, pourquoi pas : Laissons à l'expérience le temps de faire ses preuves. La priorité à droite est sûrement l'une des plus anciennes et simples règles de la conduite en Europe. Puisqu'elle est la règle par défaut, elle est ultra économique : aucun marquage, aucune signalisation n'est en principe nécessaire. La priorité à droite est ce qui prévaut quand il n'y a pas d'autres aménagements. 

Hélas, même si certaines régions (Paris, notamment) sont restées très attachées à cette règle, elle a quand-même eu tendance à devenir minoritaire en France depuis des décennies, remplacée par des "cédez le passage", des stops, des sens giratoires, des feux, et parfois à outrance. 

La surprise pour les gens de passage peut aussi être grande car sur cet itinéraire principal de Reims à Vouziers, il est à noter que seule Bétheniville impose une rupture de l'itinéraire prioritaire, en vigueur partout ailleurs sur cet axe. Et certaines priorité sont franchement assez peu visibles.

Bref, que l'on soit d'accord ou pas, c'est fait. Au moins, le village essaie de faire des choses pour améliorer le constat : les voitures, camions et deux-roues roulent trop vite mais est ce que cela suffira à ralentir les nombreux véhicules, notamment de nuit, qui continent à ne respecter aucune priorité en traversant le village à trop vive allure? Le doute est permis.

Pour faire avancer le débat : 

Certains habitants se demandent si on a réellement étudié la possibilité d'un giratoire au carrefour Munet-rue de Reims-rue de Vouziers qui ralentirait et pacifierait l'endroit ? Soyons honnêtes : ce carrefour est un coupe-gorge pour les piétons et aussi pour les voitures venant d'Hauviné. La tendance descendante naturelle de la rue de Reims et de Vouziers fait que les véhicules s'engagent dans la rue de Munet en accélérant le plus souvent, ce qui est un comble. Un giratoire calmerait tout le monde : Les passages piétons qu'il créerait tout autour serait bien plus accessibles et protégés vers le bar tabac, l'épicerie et la pharmacie. Il n'y a pas besoin qu'il soit énorme : le déplacement de quelques mètres, "l'arrondissement" et l'agrandissement du terre plein actuel (à l'entrée de la rue de Munet) suffirait presque pour créer un sens giratoire tout autour, au moins pour essayer. C'est en effet l'aménagement le plus sécuritaire qui soit. Toute les études le montrent car il ne propose pas le ralentissement, il l'impose, physiquement, tranquillement. 

J'ai entendu d'autres suggestions intéressantes : Les rues de Vouziers, de Reims manquent peut-être de parkings : Peut-être qu'une étude sur l'aménagement de places de stationnement, tantôt du coté paire, tantôt coté impair, en zigzag, pourrait aussi réduire la vitesse, là aussi naturellement et mécaniquement. Ca se fait beaucoup et partout ailleurs: à Hauviné, par exemple, où les rues ne doivent pas être beaucoup plus larges qu'ici. Il faudrait bien sûr étudier tout cela: est ce que les chaussées et trottoirs peuvent le permettre? Ce n'est pas sûr mais cela mérite qu'on s'interroge.